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Contes pour enfants (à commander)

 

Imaginez... Vous appuyez sur le bouton de votre lecteur de CD/MP3, et votre enfant de 5 à 12 ans reste sage pendant des heures. Les histoires racontées sont indispensable pour son développement: - parce qu'elles nourrissent son imaginaire, ses facultés de visualisation - parce qu'elle orientent positivement sa pensée dès son plus jeune âge - parce qu'elles ouvrent son coeur - et le vôtre si vous les écoutez - et libèrent ses émotions. C'est l'occasion de partager avec lui une expérience, de créer de l'intimité. C'est la possibilité d'inviter d'autres amis à les écouter avec lui et d'en discuter. Histoires et Contes
dits par Christian Godefroy

Ce sont l'équivalent de 3 CD audio de plus d'une heure sur MP3, qui contiennent 2 histoires chacun, soit 6 contes ou histoires au total.

Commander les CD

Première Histoire (extrait):

La fiancée du soleil (extraits)

C'est la fiancée du soleil qui nous l'a racontée elle-même pour qu'on vous la redise.

Le soleil, un jour où il était de moins bonne humeur que d'habitude, poussa un grand soupir et se dit :

"Ça va bien, ils sont tous contents, mais c'est toujours moi qui donne, on ne pense même pas à me remercier sur la terre, tant les gens que les animaux et les plantes trouvent ça parfaitement normal. Et bien, pas moi, j'en ai assez de me prodiguer. Je voudrais faire un voyage sur terre et me rendre compte si quelqu'un penserait à m'offrir un cadeau en échange de tout ce que je donne."

Et le soleil se rapprocha de la terre. Il se sentait plein de larmes car il n'était pas vraiment heureux. Il était tout seul.

...

Le soleil fut embarrassé, il ne savait pas au juste comment expliquer qu'il se sentait seul, sans amis et que ça lui faisait mal. Alors il préfèra en finir.

"Oh, je ne sais plus ce que je voulais dire, fit-il au vieux monsieur, j'aurais été content de trouver quelqu'un qui m'aime, mais ça ne fait rien, ça n'a pas d'importance, je me retourne chez moi."

...

Il était 6h de l'après-midi, le soleil s'en allait tout décontenancé, un peu mélancolique, lorsqu'il entendit une toute petite voix fine, très fine, comme le chant d'un pipeau :

"Comment veux-tu que ces gens te comprennent soleil, ils n'ont jamais pensé que tu étais leur seigneur et maître et, petite tête, ils ne réfléchissent qu'à ce qu'on leur met sous le nez. Pour eux, tu n'es rien qu'un moment du jour, et encore, vois donc, ils disent : "c'est l'aube", quand tu n'es pas encore venu. Le soir ils disent "c'est le crépuscule" quand tu t'apprêtes à partir. Tu vois bien, ils ne font pas grand cas de ta présence. Ils la trouvent toute naturelle. Et c'est d'eux que tu attends une compagnie ? Adresse-toi plutôt à qui tu dois la vie et t'aime comme son dieu."

"À qui donc ?"

"À moi par exemple."

"Toi ? Tu me dois la vie ? Mais je ne te connais pas."

"Je vais t'expliquer : avant hier, je n'étais rien ; et si tu n'étais pas venu, je serais encore rien. Mais hier, un de tes rayons a touché l'œuf d'ivoire que ma mère avait introduit dans la tige de ce genêt et je suis née de ta chaleur. Je ne connais encore que toi au monde, soleil. Je t'aime de tout mon cœur puisque tu m'as donnée la vie."

...

"Enfin, j'ai trouvé ce que je cherchais, dit-il. Où es-tu que je te vois ?"

"Je vais te montrer mais dis-moi d'abord que je serai ta fiancée."

Le soleil éclata d'un grand rire : "Allons que je te vois. Comment es-tu ? Où te caches-tu ?"

"Je suis dans les genêts qui sont de la même couleur que toi et qui sentent si bons. Je suis blonde, avec de grands yeux noirs qui me couvrent presque la figure."

"Ah, pour être belle, je suis belle."

"Donne-moi ta place exacte. Tu me fais bouillir d'impatience."

...

Le soleil cherchait et cherchait, mais, ne distinguait rien. Alors, il dépêcha ses rayons par ordre de grandeur pour le renseigner. Leur recherche dura un bon moment.

Ce fut le plus petit, le plus mince rayon qui trouva. Il cria "ouah" de toutes ses forces "j'ai trouvé, j'ai trouvé". ...

 

(autre extraits)
Ce pauvre Gustave (extraits)

Moi, je m'appelle Rosette et Gustave est mon ami depuis toujours. Quand nous étions petits, lui et moi, nous jouions ensemble parce que sa mère venait me garder, m'emmener promener. Gustave venait avec nous. Il a juste 2 ans de plus que moi. Maintenant, j'ai 12 ans et Gustave en a 14.

Les amies de maman quand elles parlent de lui l'appellent toujours "ce pauvre Gustave". Tu sais pourquoi ? J'ai demandé à maman et elle m'a dit :

...

"Oh, je suis fou de joie Rosette, me dit-il, que ta maman me fasse confiance. Tu sais que j'adore dessiner. C'est la seule chose qui me plaise vraiment en classe. Tu me donneras déjà une centaine de rouleaux de serpentins et je décorerai tous les murs de la salle de jeux près de la terrasse où tes parents vont servir le goûter, ce sera mieux ça."

"Et pour les masques, Gustave, qu'est-ce qu'on fera ? Maman en a achetés des noirs en velours mais ce n'est pas drôle. Il faudrait que chacun de nous ait une tête qui représente quelque chose. Là, on s'amuserait vraiment. Tu n'as pas une idée ?"

"Moi j'ai des idées. Mais il faut que tu me procures de grands cartons blancs. Je dessinerai les masques et je les peindrai. Puis, je leur donnerai la forme du visage. Ce sera bien, tu verras."

Gustave et moi, nous nous mîmes à l'œuvre. Quand il eut collé les serpentins sur les murs, c'était magnifique. Mes parents lui en firent 1000 compliments. Après quoi, nous nous attaquâmes aux masques. C'était un gros travail et très difficile, mais Gustave travaillait comme un fou. Il n'en dormait plus, passant ses nuits à imaginer des têtes d'animaux que personne ne connaissait. Il avait eu la peine et me laissa tout le triomphe.

...

"Oh je ne veux pas prendre une caisse entière, dit Gustave, mais je remplirai mes poches et ça me suffira."

On entendait déjà la grande musique des trompettes, des fifres et des tambours. Le défilé commençait. Comme d'habitude, il y avait toutes sortes de chars avec d'énormes personnages en caricatures qui faisaient toutes sortes de farces. Et autour d'eux sur les chars, les jeunes filles ou des enfants en tenue légère qui sautaient, dansaient, criaient, à qui mieux mieux. Nous criions tous aussi, perchés à la terrasse et nous lancions sur les chars des poignées de confettis et de longs serpentins. Les occupants des chars nous avaient remarqués et nous lançaient aussi des projectiles.

"Vive les extraordinaires ! criaient-ils, comme ils sont beaux ! En quoi êtes-vous déguisés ?"

...

Lorsque nous arrivâmes devant le jury, l'appariteur nous groupa tous les 10 : "Vous êtes un ensemble, dit-il, comment s'appelle votre groupe ?"

Personne ne savait que répondre. Moi, je me rappelais l'exclamation du premier char qui nous avait vu à la terrasse : "Nous sommes les extraordinaires", criai-je vivement, et nous fûmes inscrits sous ce nom.

Encore une demi-heure d'attente pendant que le jury délibérait.

Enfin on annonçât : "La récompense du meilleur groupe va aux extraordinaires !"

...

"C'est un peu fort, dit Arnaud, un ami d'école. Il n'a rien fait celui-là. Pourquoi doit-il avoir tout ça ?"

"Parce que je l'ai décidé, dis-je. Tu en avais fait seulement la moitié autant que lui tu pourrais te vanter, mais tu n'en aurais pas été capable."

...

Pendant ce temps, les garçons, furieux d'avoir été humiliés au profit de Gustave, cherchaient à se venger.

"Venez, dit Thierry, il est là-dedans. Faut pas qu'il croie que nous avons peur de lui. On est 3, on va lui faire son affaire. On n'a rien à craindre."

Les garçons poussèrent de toutes leurs forces sur la porte du vestiaire que Gustave essayait de maintenir de l'autre côté.

"Ils vont lui faire du mal, crièrent les filles, allons chercher Rosette, elle le défendra." ...

 

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